lundi 24 mars 2008

Papa en vrac!

J’avais un ou deux trucs en tête depuis quelques jours, mais rien qui justifiait une entrée de blogue. J’ai donc attendu, et voici ce que ça donne. Ça vous changera de mes coups de gueule!

• Les saignements ont re-recommencé. Je ne sais plus si je dois encore m’inquiéter ou si, comme le dernier, ça va passer, avant de recommencer à nouveau. De plus en plus, j’ai vent d’histoires de femmes avec saignements qui ont mis au monde de beaux bébés en parfaite santé. Enfin, on voit la doc cette semaine, j’imagine qu’on sera fixés...

• Malgré tout, ça inquiète maman un peu, et c’est tout à fait normal. En fait, je crois que je fais de gros efforts pour moins m’inquiéter pour balancer le fait que la plupart du temps je m’inquiète trop. Cela dit, le moral de maman est un peu à la baisse : elle est naturellement assez active, et le fait d’être clouée au lit et au canapé lui pèse lourd, surtout avec les hormones de femme enceinte qui embarquent. Sauf que, si tout n’est pas réglé, elle devra prendre son mal en patience... 

• J’ai gagné un niveau en skills de cook. Fallait que ce soit dit.

• Il reste six matches à la saison du CH, je crois. Et tout spécialiste de hockey que je puisse être, je pense qu’on va aller assez loin dans les séries. Une première coupe depuis 93? Ça s’rait l’fun! Je pourrais dire à Sardine qu’il (ou elle, le pool de sexe est à 50 / 50!) est né (e...) l’année où la Flanelle a gagné la coupe. J’aurais aimé lui dire «l’année où on a eu notre pays», mais bon, il (ou elle!) le verra de ses propres yeux...

• Quelques tounes que Sardine entendra probablement en berceuse, même si lesdites tounes n’omnt pas été pensées comme telles :
Pour un instant d’Harmonium
Nous aurons de Richard Desjardins
C’est la douzaine que j’aimerai, une toune traditionnelle (je crois) que j’ai ramassée dans un show du Henri Band. Ça prendra bien une chanson à bouère pour l’heure du biberon!
Le capitaine de Saint-Malo, une autre trad ramassée aux Murènes. J’enlèverai la seconde moitié, promis.

• Le mot de la fin : quelquefois, la procrastination est plus réconfortante qu’un lave-vaisselle.

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