mercredi 23 janvier 2008

6 semaines (?) : Sardine, sa vie, son temps


Bon, comme ça devient de moins en moins un secret, je crache le morceau :

Sardine, c’est mon héritier ou mon héritière. Ma descendance. Mon fils ou ma fille à venir.

Vidi, vini, vini, vini, vici...

Ma réaction, à plus-ou-moins chaud : c’est un méchant buzz, je vous assure! Un changement drastique du point de vue sur mon existence, le retour de l’optimisme, mais surtout la nécessité de croire en un principe supérieur qui va faire en sorte que tout se passe pour le mieux. Je ne crois pas qu’il y ait de grossesse parfaite; je demande seulement, disons, les conditions optimales. 

Parce que moi, qui n’ai jamais rien demandé de la vie, je veux et j’exige de pouvoir prendre Z. (ou V, advenant que ce soit une fille... Mais pour le moment, nous l’appellerons Sardine!) dans mes bras, plonger mes yeux dans les siens, façonner un être humain juste et fort, un être de principes, un architecte de ce qu’il y a de meilleur dans la race humaine.

Parce qu’instinctivement, j’ai trouvé la réponse à la sempiternelle question «Pourquoi amener quelqu’un d’autre dans un monde aussi pourri?» : Quand le centre de ton univers devient l’embryon dans le ventre de celle que tu aimes plus que tout au monde, tout n’est plus aussi pourri qu’on peut se le laisser croire.

Comme j’ai dit plus haut, le tout n’est qu’une question de point de vue...

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